Le recueil qui a fait suite à celui d'Edmond Humeau me concernait plus particulièrement. C'était le deuxième que je faisais paraître après Mémoire sans tain, il s'intitulait Cœur absolu, était publié en juin 1990 et c'est le peintre José Martin Marcos qui en avait illustré la couverture.
Voici le texte de la quatrième de couverture :
"Les liens qui se tissent entre un être et l'univers ne sont jamais fortuits. Lorsqu'on choisit, comme le recommandait Max JACOB, de "changer son cœur en encrier", le poème devient le lieu privilégié pour mettre au grand jour ses choix et préférences.
Au lecteur dès lors de suivre l'itinéraire d'un poète qui refuse de faire dans l'abstraction et la littérature, souhaitant que l'amour garde l'initiative en toute conduite sur cette terre."
Complément :
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