Il y a peu j'ai présenté la revue Phréatique. A la même époque paraissait Vents & Marées. La revue avait été fondée en 1976 à Anglet dans les Pyrénées-Atlantiques. Elle sera publiée jusqu'en 1992 et comptera cinquante-six numéros.
Je suis heureux d'en parler aujourd'hui car cela me permet de rendre hommage à Jeanne Monteil qui en était la fondatrice et l'animatrice avec Jean-Léopold Dumontier-Béroulet. Un esprit d'ouverture et de générosité soufflait sur cette revue. A l'époque Internet n'existait pas et c'est par courrier que se faisaient les échanges. Ils étaient nourris et intenses. Vents & Marées avait quelque chose dans son fonctionnement qui relevait de l’École de Rochefort. L'amitié y prévalait et c'est d'ailleurs par Jean Bouhier que j'étais rentré en contact avec Jeanne Monteil. Des liens anciens rattachaient aussi ses responsables avec La Tour de Feu dont Edmond Humeau avait été une des chevilles ouvrières. Il participa de près à la vie de Vents et Marées qui édita son recueil Le Dur Octante.
Le numéro dont je reproduis la couverture m'a été adressé par Yvette Simonomis. Son mari Jacques fut un des piliers de l'aventure. En feuilletant ses pages, je retrouve les noms de ceux qui composaient alors mon paysage poétique : Daniel Biga, Jean Pietri, Charles Thomas, Jacques Arnold, Michel-François Lavaur, Tonia Le Goff, Agnès Meynier et Jeanne Monteil notamment.
Parmi les notes de lecture, je redécouvre un texte de Jean Cassagnabère consacré au recueil d'Eric Tremellat Dans une attente rouge que j'avais publié aux Cahiers de Garlaban. C'est dire la force des liens qui nous reliaient les uns aux autres.
Compléments :
- Vents & Marées et Jeanne Monteil sur Wikipédia.
Le numéro dont je reproduis la couverture m'a été adressé par Yvette Simonomis. Son mari Jacques fut un des piliers de l'aventure. En feuilletant ses pages, je retrouve les noms de ceux qui composaient alors mon paysage poétique : Daniel Biga, Jean Pietri, Charles Thomas, Jacques Arnold, Michel-François Lavaur, Tonia Le Goff, Agnès Meynier et Jeanne Monteil notamment.
Parmi les notes de lecture, je redécouvre un texte de Jean Cassagnabère consacré au recueil d'Eric Tremellat Dans une attente rouge que j'avais publié aux Cahiers de Garlaban. C'est dire la force des liens qui nous reliaient les uns aux autres.
Compléments :
- Vents & Marées et Jeanne Monteil sur Wikipédia.
Bonjour,
RépondreSupprimerPour information, la revue à compter minimum 60 numéros (mais je n'ai pas le 59 & le 60). Le 57 était consacré à "la saga des bêtes", le 58 au "mentir-vrai", le 59 au "chemins de l'europe" et le 60 au thème "Pas de panique". Ce dernier numéro a tardé à paraître (1995) et je crois que c'est le dernier.
Avec toute mon amitié,
Philippe Milbergue
Merci pour votre message qui complète les informations présentées sur Wikipédia. Bien amicalement.
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